Par exemple, sur la figure à droite, le flot résiduel après destruction de (s,T) et (N,E) est 1, car dans l'arc (N,T), le flux vaut 1, le flux du flot résiduel ne peut donc excéder 1 sur cet arc et donc sur l'unique chemin restant entre la source et le puits. On connait le nombre d'arcs qui seront attaqués mais pas les arcs eux-même, il faut que le flot initial prévoit toutes les situations possibles afin que le flot résiduel soit le plus grand possible, quelque soit l'attaque. On cherche donc à optimiser le pire cas. Dans cet exemple, une bonne solution serait par exemple, premièrement, de faire passer plus de flot sur l'arc (N, T) mais aussi sur l'arc (Y, N) ou sur l'arc (T,N) pour pouvoir l'utiliser pour rediriger du flot après attaque.
[RWPP17] | T. Ridremont, D. Watel, P.-L. Poirion, and C. Picouleau. Flot adaptatif maximum pour la destruction de k arcs, Février 2017. ROADEF. |
[RWPP18a] | T. Ridremont, D. Watel, P.-L. Poirion, and C. Picouleau. Flot adaptatif maximum pour la destruction de k arcs, Février 2018. ROADEF. |
[RWPP18b] | T. Ridremont, D. Watel, P.-L. Poirion, and C. Picouleau. Flot adaptatif maximum pour la destruction de k arcs, Septembre 2018. OR. |
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